Accéder à son sommet par le biais d'un sonnet
Laisse couler mes deux grands yeux encre praline
Sur les beaux reflets bleutés de tes glaciers
Auxquels je ne pourrais, Oh ! Jamais accéder.
Laisse-donc évader ma plume cristalline.
Rêve irréel et sublime, serait ce un crime ?
Si en bas de ta cime, un doux coeur déprime
Quelle en est la cause ? Je ne sais pas si j’ose...
Dire que ma cordée de mots te propose une prose.
Mais un jour lointain, prochain, mon bonheur sera,
Inaccessible, sensible on me le dira
Je reste fascinée par tes pentes gelées.
Alors, promis, je ne serais pas casse-pieds,
Comme celles qui te sollicitent chaque année
Pour toi, je resterai douce et attentionnée.